Robert Browning est né le 7 mai 1812 à Camberwell, en Angleterre. Sa mère était une pianiste accomplie et une fervente chrétienne évangélique. Étudiant brillant et anxieux, Browning a appris le latin, le grec et le français à l'âge de 14 ans.

Browning a assuré sa place de poète de premier plan avec un monologue dramatique, la forme qu'il maîtrisait et pour laquelle il est devenu connu et influent.

Monologue dramatique au style d'écriture unique de Browning : Sa réputation critique repose principalement sur ses monologues dramatiques. C'est une forme de discours adressé à un auditeur silencieux. Son objectif est « l'étude du caractère » ou « la psychanalyse ».

Plus tard, lorsque l'enfant eut incorporé le jeu dans ses jeux avec ses amis, son père lui présenta la traduction de l'Iliade par Alexander Pope. L'appétit de Browning pour l'histoire ayant été aiguisé, il a été amené à apprendre le grec afin de lire l'original.

Son esprit était apparemment fou, car il a décidé de la tuer. Ce faisant, pensa-t-il, il pourrait saisir ce moment pour toujours. Si Porphyrie mourait alors qu'elle était unie à lui, il ne la perdrait jamais. Convaincu par cette idée bizarre, il a instantanément étranglé son amante à mort avec ses propres cheveux longs.

Dans le poème, un homme étrangle son amant – Porphyria – avec ses cheveux; "… et tous ses cheveux / Dans une longue ficelle jaune j'ai enroulé / Trois fois sa petite gorge autour, / Et l'ai étranglée." L'amant de Porphyrie parle alors des yeux bleus du cadavre, de ses cheveux dorés, et décrit le sentiment de bonheur parfait que procure le meurtre…

Pourquoi Porphyria ne peut-elle pas rester avec son amant pour toujours ? Pourquoi ne peut-elle pas être libre de l'aimer ? Parce qu'il l'étrangle. Parce qu'elle est morte.

Le narrateur décrit Porphyrie comme ayant des yeux bleus qui « riaient […] Par conséquent, le narrateur ne semble pas se sentir coupable ; au contraire, ils se sentent satisfaits d'avoir trouvé un moyen de posséder et de garder la Porphyrie pour toujours.

Dans le poème, l'orateur décrit avoir été visité par son amant passionné, Porphyria. Si l'orateur est souvent pris pour un fou, ses motivations (très tordues) semblent claires : en tuant Porphyrie, il prend le contrôle d'elle, la transformant en un objet obéissant qui restera « pur » à jamais.

Porphyries cutanées Sensibilité au soleil et parfois à la lumière artificielle, provoquant des douleurs brûlantes. Rougeur soudaine et douloureuse de la peau (érythème) et gonflement (œdème). Cloques sur la peau exposée, généralement sur les mains, les bras et le visage. Peau fine et fragile avec des changements de couleur de la peau (pigment)

Lignes 15 à 30. L'orateur ne répond pas à l'appel de Porphyria après qu'elle se soit assise à côté de lui. Cette absence de réponse indique sa morosité ; peut-être même est-il dans un état catatonique. Porphyria est à nouveau la partenaire active, car elle met son bras autour de la taille de l'orateur et lui montre son épaule.

Après que le narrateur ait tué Porphyria, il la regarde dans les yeux pour s'assurer qu'il n'y a plus de vie en elle. Alors qu'elle est allongée endormie, il voit son corps comme un beau bourgeon. La vie en elle, cependant, qui a le potentiel d'être vivante est considérée comme une abeille. Il associe la vie à la douleur.

Il est contrarié que son cœur soit "trop faible, pour tous les efforts de son cœur/pour libérer sa passion en difficulté/de l'orgueil et des liens vains rompus,/et se donner à moi pour toujours". Il veut qu'elle rejette tout le reste et soit avec lui, mais elle ne le fait pas, elle est trop faible.

Son amant, une jeune femme épanouie nommée Porphyria, sort d'une tempête et procède à faire un feu et à apporter de la joie au chalet. Elle embrasse l'orateur, lui offrant son épaule nue.

Un bourgeon qui se fermerait et piégerait une abeille abandonnerait cette relation. Par conséquent, un bourgeon fermé peut s'ouvrir lentement, ou s'ouvrir nerveusement pour s'assurer que l'abeille est bien morte ; si ce n'était pas le cas, l'abeille pourrait attaquer le bourgeon.

L'expression « mon cœur est prêt à se briser » signifie qu'il est contrarié par quelque chose.

Le narrateur parle de l'absence de Dieu, comme lorsque l'amant de Porphyrie lui tend son corps : « et pourtant Dieu n'a pas dit un mot ! Avec le discours fort du poète – dans tout son attrait, sa démonstration d'amour destructrice et son rejet de Dieu – Browning a contribué à créer un discours qui a sculpté la littérature …

Qu'est-ce qui amène l'orateur à affirmer que la Porphyrie "n'a ressenti aucune douleur" ? Elle n'a plus à prendre la décision de le quitter pour un autre.

Il l'étrangle avec ses cheveux. Comment l'orateur assassine-t-il la Porphyrie ? Il désire maintenir à jamais la perfection de leur moment ensemble. Il reste toute la nuit avec la tête de Porphyria sur son épaule.

L'amant de Porphyrie est présenté sous la forme d'un monologue dramatique dans lequel l'orateur est un amant qui a un esprit anormal, voire fou, racontant comment il a tué sa propre maîtresse. L'amant ne parle à personne en particulier. C'était une conversation avec lui-même.

Quelle est la plainte principale de l'orateur contre la dame mentionnée dans le poème ? La dame n'appréciait pas assez le duc et le traitait comme elle traitait tout le monde.

L'orateur l'a décrite comme quelqu'un qui est facilement impressionné par l'humain et la nature qu'elle a oublié d'accorder de l'importance à la hiérarchie du duc dans la société. De plus, il a été insulté par la sous-estimation de son nom de famille par la dame.

le duc de Ferrare

"Ma dernière duchesse" dramatise le conflit interne de l'orateur, le duc de Ferrare. Il est en conflit avec les défauts de sa dernière femme et le désir de changement dans le mariage à venir avec sa nouvelle fiancée. En fin de compte, la lutte porte sur le pouvoir et la jalousie.

Il est révélé que le duc pense que le plus gros défaut de la duchesse était sa présence sociable, qui pour lui était coquette. En fait, ses tendances coquettes sont décrites par le Duc comme telles, « ce n'était pas/ La seule présence de son mari appelait cet endroit/ De joie dans la joue de la Duchesse… » (13-15).

Dans «Ma dernière duchesse», le duc ne dit pas directement qu'il a tué la duchesse; cependant, on peut en déduire qu'il est responsable d'elle…

Dans le poème, il parle de sa première épouse Lucrezia de' Medici, décédée dans des circonstances suspectes peu de temps après avoir épousé le duc. Dans le poème, le duc parle à un émissaire qui négocie le prochain mariage du duc avec la fille d'une autre famille puissante.

Réponse : L'orateur a décidé de ramener la petite créature à la maison et de la donner à sa femme pour qu'elle s'en occupe. Elle était ravie ! Elle a immédiatement mis un ruban de couleur autour de son cou, et après avoir découvert que le petit était un « garçon », elle l'a baptisé Bruno.

Il tire un rideau pour révéler une peinture d'une femme, expliquant qu'il s'agit d'un portrait de sa défunte épouse; il invite son invité à s'asseoir et à regarder le tableau. Il garde maintenant sa peinture cachée derrière un rideau que lui seul est autorisé à tirer, ainsi maintenant elle ne sourit que pour lui.

L'ironie générale dans "Ma dernière duchesse" de Browning est qu'il ne s'agit pas vraiment de la duchesse, mais plutôt de la nature contrôlante, jalouse et arrogante du duc. Dans son monologue décrivant un tableau de son ex-épouse, le duc nous fait découvrir ses qualités sombres et sinistres.